« Premier de cordée »
Dans le cadre du Festival des Mots à Valberg le 30 juillet 2016, il a été demandé à Pierre de faire une lecture publique de longs extraits du fameux roman de Roger Frison-Roche devant une assistance nombreuse, très attentive et très émue.
« L’école des femmes » de Molière
Pierre Santini souhaitait depuis longtemps jouer le personnage emblématique d’Arnolphe, un des rôles les plus longs et les plus beaux du répertoire classique français. Ce projet mis en place avec la complicité d’Emmanuel Dechartre et d’Armand Eloi (metteur en scène) a été présenté au Théâtre 14 pendant 2 mois jusqu’à fin 2015. Deux représentations isolées sont prévues les 26 et 28 janvier 2016 à Villeneuve sur Lot et Bergerac et le spectacle a été présenté dans 4 festivals à l’été 2016 (Angers, Sarlat, Fontenay le Comte, Pézenas).
« Flâneries d’Aix » en Provence (Andréa Ferreol)
Les 18 et 19 juin 2016, lecture avec Béatrice Costantini de la très belle correspondance entre Alain Fournier et Madame Simone. Cette lecture a été suivi du récital extrait de « Come Di » où Pierre chante Paolo Conte en français.
« Je dirai malgré tout que cette vie fut belle »
Le 14 juin à la salle Geyser à Vichy, lecture publique de l’ouvrage de Jean d’Ormesson.
« Le but, c’est le chemin »
Depuis plus d’un demi-siècle, Pierre Santini se donne sur les planches de France avec passion, accomplit avec bonheur son métier de comédien, d’homme de théâtre, sans se mêler du star-system.
Cyrano et Figaro sont les deux rôles qu’il a le plus aimés. Mais il y a aussi des personnages comme le Roi Lear, Arnolphe ou Gaston Dominici. Et des centaines d’autres.
Héritier d’une culture conjuguant l’Italie de son père, artiste-peintre, et de sa mère française, il est formé à la fin des années 50 à l’école Charles Dullin par Vilar, Wilson, Darras, Lecoq. Il est plongé dans le grand bain en 1959 dans le Crapaud buffle d’Armand Gatti, mis en scène par Jean Vilar. Puis il devient un acteur-clé du Théâtre Populaire, à Paris, Strasbourg ou Villeurbanne et travaille avec d’autres grands metteurs en scène : Planchon, Gatti, Garran, Brook, Ronconi…
Parallèlement, il s’affirme comme une vedette du petit écran dans des séries très populaires des années 60, 70 et 80 : Rocambole, Seule à Paris, l’Homme du Picardie, François Gaillard, Un juge un flic, les Cinq dernières minutes. Il s’affiche aussi au cinéma.
Pierre Santini ne s’arrête jamais. Il dirige deux théâtres, celui des Boucles de la Marne et de Mouffetard, crée ses propres compagnies. Il chante Paolo Conte.
C’est un comédien engagé, toujours à gauche, qui représente les acteurs dans plusieurs organisations professionnelles. Il défend les beaux textes, le théâtre accessible à tous. Il a présidé les « Molière » pendant deux ans, ainsi que l’ADAMI, le Centre Français du Théâtre et Cultures du Coeur.
Sa vie est émaillée de fabuleuses rencontres.
André Renaud et Jean-Michel Cadiot, qui ont écrit cette biographie, sont tous deux journalistes.
192 pages + cahier photos de 12 pages N&B - 20 euros
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COTE JARDIN, émission présentée par Jacques Benhamou
qui reçoit PIERRE SANTINI sur RCJ le 21 décembre 2015
La tendance culturelle par BFMBUSINESS – 11 novembre 2015
Christophe Mory, pour la Librairie Théâtrale
Fratricide de Dominique WARLUZEL – mise en scène de Delphine de MALHERBE – décors de Catherine BLUWAL – Lumières de Marie-Hélène PINON – Musique de Sylvain MEYNIAC. Festival off d’Avignon – Théâtre La Luna du 4 au 27 juillet 2014. Jean-Pierre KALFON et Pierre SANTINI ont interprété avec succès les rôles de Fabien et Jean, deux frères confrontés à la lecture du testament de leur père. Pascal LEGROS Productions. Du 4 novembre 2014 au 25 janvier 2015 au Théâtre de Poche / Montparnasse puis tournée en 2016 du 4 janvier au 18 février.
Lire l’article de tatouvu.mag n°72 du 15 novembre 2014
Lire l’article de Théâtre de D. Dumas
A 19h, dans la salle du haut, Fratricide de Dominique Warluzel est un face à face entre deux frères que tout oppose depuis toujours, sauf, justement, un vieux souvenir de fraternité…On ne vous racontera pas l’intrigue car, il y a, dans cette pièce qui accumule un peu les événements néfastes jusqu’au dénouement, le plaisir de la découverte d’un texte inconnu.
Delphine de Malherbe, qui signe la mise en scène, a réuni deux grands du théâtre. L’un est un grand chat aux apparences douces mais qui sait donner des coups de griffe, l’autre est un jaguar qui se méfie…
Pierre Santini et Jean-Pierre Kalfon. L’affiche tient ses promesses. Entre eux, un clerc de notaire -en alternance Bertrand Nadler et Franck Borde.
Deux frères ennemis, vieux thème de la littérature et du cinéma…Incompréhension, chemins qui divergent, statuts très différents dans la société, ne racontons rien car, on l’a dit, une partie du plaisir, par delà le jeu fascinant des deux comédiens, c’est l’intrigue à rebondissements, les passés évoqués, etc…
Pierre Santini avec son apparence placide, ses regards, sa science des silences est parfait. Face au très touchant Jean-Pierre Kalfon, celui qui a tant à se faire pardonner, mais qui a pris des risques dans la vie…et qui ne va plus trouver d’issue que dans son adolescence, sont parfaits.
On passe un très bon moment malgré une pièce qui charge un peu la barque du pathos et du mélodramatique.
Armelle Heliot – Le Figaro du 1er décembre 2014
Film de Pierre Courrège – Scénario de François Begaudeau
Avec Pierre Santini, Patrick Braoudé, Bruno Solo, Jean Benguigui, Samia Dahmane, Nicole Valberg. Un Président de la République (Patrick Braoudé) en fin de mandat et malmené dans les sondages cherche l’aval d’un ancien lion de l’opposition (Pierre Santini) pour faire remonter sa cote de popularité. Si c’était si simple !… Sortie dans les salles le 15 juin 2016, après plusieurs projections dans des festivals pendant l’été et l’automne 2014 (Auch, Cap d’Agde, Montréal, Cannes, Trouville, Agen, Lectoure, Beauregard, Meyzieux). Plusieurs projections en Angleterre en juillet 2015 dont une à Londres, et une présentation accompagnée d’une master class à Valenciennes le 7 janvier 2016.
